Voilà une idée originale pour protéger ses plantes en pot des rigueurs de l’hiver (comme les lauriers roses), tout en décorant ses extérieurs!
Maison de Carl et Nicole Fuet.
Voilà une idée originale pour protéger ses plantes en pot des rigueurs de l’hiver (comme les lauriers roses), tout en décorant ses extérieurs!
Maison de Carl et Nicole Fuet.
L’arrêté préfectoral reçu et affiché en Mairie stipule : « par dérogation aux dispositions portant sur l’agrainage de dissuasion du sanglier et sur les attractifs grand gibier, prévues dans le schéma départemental de gestion cynégétique 2019-2025, approuvé par arrêté préfectoral du 18 juillet 2019, toute forme d’agrainage des sangliers est interdite du 1er décembre 2019 jusqu’au 29 février 2020, sur l’ensemble du département de Saône-et-Loire. Durant cette même période, il est également interdit d’utiliser tout produit (comme le goudron de Norvège), tout attractif ou tout dispositif visant à attirer et/ou à concentrer les sangliers sur les territoires ».
Les cèpes se montrent enfin pour le plaisir des gourmets.
Une magnifique amanite tue-mouche à côté de petites amanites panthères.
A admirer mais à ne pas cueillir.
Il y avait bien longtemps que le Brionnais n’avait pas connu un arrosage aussi conséquent. La nuit précédente, la pluie n’a pas cessé mais n’a pas causé de dégâts comme dans certaines régions de France. Les bassins de rétention situés en dessous de l’EHPAD se sont en partie remplis. La nature apprécie.
La pluie de la semaine dernière a provoqué une pousse impressionnante de rosés des prés (agaric champêtre). Voici un magnifique rond de sorcière. Les champignons poussent à la périphérie du mycélium dont le diamètre augmente chaque année.
Chaque soir à la tombée de la nuit, un crapaud s’aventure sur ma terrasse. Pas du tout craintif, il attend que je lui dépose à proximité quelques asticots qu’il s’empresse de dévorer goulument. Je suppose qu’il passe sa journée près de mon bassin parmi les plantes qui le bordent où il trouve une certaine fraicheur. (François Baciak)
Le crapaud est utile au jardinier.
Il se nourrit généralement de vers de terre, escargots, limaces, cloportes, mille-pattes, mouches, araignées, fourmis, punaises, chenilles et autres invertébrés.
Ils sont anamniotes, c’est-à-dire que l’embryon ne possède pas d’amnios. La fécondation est externe (à l’extérieur des voies génitales), dans l’eau le plus souvent (certaines espèces mouillent régulièrement leurs chapelets d’œufs dans le cas du crapaud Alyte accoucheur). Leur développement post-embryonnaire comporte généralement une métamorphose.
Le début de leur vie se passe dans l’eau, puis l’adulte, sauf au moment de la reproduction, vit plutôt sur la terre, généralement en forêt ou dans des zones hygrométriques élevées, mais il existe quelques espèces de milieux relativement arides.
Source Wikipédia
Peut-être avez-vous remarqué ces petits cratères dans le sol à des endroits abrités. Savez-vous ce qui ce cache au fond ?
Ces petits cratères dont les bords sont faits d’une terre très fine sont des pièges à fourmis. Une fourmi qui tombe dans ce cratère n’en sortira pas. Elle sera dévorée par la larve d’un insecte: le fourmilion.
Cette larve est munie de mandibules redoutables terminées par des crochets. Si la fourmi essaie d’escalader les pentes du petit cratère la larve lui projette du sable pour la faire descendre au fond et la dévorer.
Le développement larvaire demande 2 bonnes années et le moment venu la larve tisse un cocon soyeux et sphérique, de l’ordre d’un petit cm, en y incorporant des particules du substrat l’environnant. Ce cocon est généralement élaboré un peu en dessous du fond de l’entonnoir. Classiquement la larve donnera une nymphe, puis un insecte dit parfait qui émergera au cours de l’été. La ponte s’effectue à même le sable et l’éclosion des jeunes larves n’a lieu qu’au printemps suivant.
La sécheresse a transformé les prairies du Brionnais en véritables steppes africaines. On peut même y observer des petits hérons garde bœufs autour de nos vaches charollaises. Ils sont très communs en Afrique où ils suivent les zébus qui dérangent les insectes dont ils se nourrissent.
A quand les dromadaires?
Vendredi soir dernier, se tenait, dans tout l’hexagone, la fête des Étoiles. En Brionnais, elle avait lieu jusqu’à présent à Fleury. Mais M71, club d’astronomie de Marcigny, a changé son fusil d’épaule et l’a installée au stade de Semur, situé relativement en hauteur et ne comportant aucune pollution lumineuse.
Avant que la nuit ne soit tout à fait tombée, les membres du club avaient installé une rangée de télescopes, pendant que la trentaine de personnes présentes pique-niquaient sur place. Parmi ces télescopes, une nouveauté : celui confectionné par Didier Le Fouler, trésorier de M71. « En 2016, à Fleury, des amis sont venus avec un ami en fauteuil. J’ai donc eu l’idée d’en modifier un pour les personnes de petites tailles ou à mobilité réduite », confie-t-il. Il l’a baptisé “Handiciel”. Une météo favorable a permis à M71, Marcigny Astronomie et Jupiter de Villerest et du Roannais de faire découvrir les planètes Jupiter et Saturne, ainsi que des amas d’étoiles, nébuleuses planétaires et autre objets diffus du ciel profond. Tout cela grâce à des appareils performants « permettant de mieux percevoir notre univers et de saisir l’importance de la préservation de notre planète », dixit Didier Le Fouler.
Source JSL : Fabienne Croze